Faire pousser son tabac

Oui j’imagine que c’est du travail, et il ne faut pas se tromper.

tabadoc a écrit:Sur un ancien forum (...) il y avait un membre , le Sergent Pipeur si je ne me trompe, qui avait une certaine expérience de cela. Mais cela fait tellement longtemps que je ne l'ai pas lu...

Il n'a rien posté mais j'ai remarqué qu'il s'est connecté sur l'autre forum aujourd'hui 

re-bienvenu à toi Weston... 

Berny a écrit:re-bienvenu à toi Weston... 

Merci, je repasse pour vous voir un peu, il est en effet à déplorer que les passages d'un forum à l'autres ne soient plus que rares désormais, hormis quelques courageux qui postent partout en double ou en triple 

La couleur ici me dissuade encore de m'attarder trop longtemps à chaque fois mais il ne faut pas rester dans son coin uniquement  Et j'apprécie toujours de vous lire 

Weston a écrit:

Berny a écrit:re-bienvenu à toi Weston... 

Merci, je repasse pour vous voir un peu, il est en effet à déplorer que les passages d'un forum à l'autres ne soient plus que rares désormais, hormis quelques courageux qui postent partout en double ou en triple 

La couleur ici me dissuade encore de m'attarder trop longtemps à chaque fois mais il ne faut pas rester dans son coin uniquement  Et j'apprécie toujours de vous lire 

Pour la couleur je suis de ton avis Weston.

Processus d'atant plus long qu'après la récolte, le tabac doit être séché puis fermenté en ballot durant une année environ.

arôme a écrit:Si la réglementation  continue sur la même voie, on sera peut-être obligé de s'y mettre....

Daymonts a écrit:Avant de fumer des feuilles de topinambour ou de rutabaga en cachette...

Pendant la seconde guerre mondiale le tabac était un produit rare. Certains cultivaient en cachette des plants de tabac. Je me deande quel goût cela pouvait-il avoir car ces "cultivateurs" n'avaient sans doute aucune expérience sur la fabrication du tabac à fumer : séchage, fermentation, etc. Les feuilles étaient sans doute consommées après avoir été simplement séchées ?

tabadoc a écrit:Sur un ancien forum (...) il y avait un membre , le Sergent Pipeur si je ne me trompe, qui avait une certaine expérience de cela. Mais cela fait tellement longtemps que je ne l'ai pas lu...

Sur FdP il me semble que Gavroche - il n'y est plus - cultivait son tabac.

Pour la culture du tabac il est important d'utiliser du sulfate de potasse et non du chlorure pour la fertilisation et de traiter régulièrement avec du soufre ou de la bouillie bordelaise, tous les 10 jours et tous les 10mm de précipitations et les jours de brume, en moyenne 40 passages par ans en bio, un peu moins en conventionnel, ce afin de limiter les moisissures à la récolte qui grèves la conservation.
Les maladies de feuillage sont le premier facteur limitant et le chlore s'accumule à ce niveau, fragilisant la plante contrairement au sulfate qui a un effet fongicides plus.
Le tabac est une culture parmis les plus dispendieuses en termes de traitements, mais si on ce loupe on fume du foin toute l'année. 
Dans nos climats semi continentaux ce n'est pas évident.
C'est pour limiter cet effet que nous nous sommes d'ailleurs mis à boucaner nos tabacs en Europe, notamment France et Belgique d'ailleurs.
Nos tabacs bruns ont donc une origine pratiquo-pratique de conservation avant tout.

C'est certain que si tu mets du chlorure de sodium ( le sel de mer, de cuisine, = en place du silfate ... la terre va devenir stérile et rien ne poussera plus.
Ta remarque sur le tabac bio m'inquiète.
Le tabac "latajié"  séché au feu de chêne, répond au souci d'empêcher les moisissures.

clod46 a écrit:

tabadoc a écrit:Sur un ancien forum (...) il y avait un membre , le Sergent Pipeur si je ne me trompe, qui avait une certaine expérience de cela. Mais cela fait tellement longtemps que je ne l'ai pas lu...

Sur FdP il me semble que Gavroche - il n'y est plus - cultivait son tabac.

D'ailleurs très bon, j'avais pu y gouter grâce à Loïc .