Vos lectures au quotidien....

HOLAF a écrit:Claude, tu n'aurais pas sous la main des photos des armes
que tu as possédé ??

clod46 a écrit:je repasse une couche (ancien tireur et collectionneur 

Pistolet : tradiionellement dans les pays francophones une arme de poing sans barillet, à 1, 2 voups voire plus (pistolets "canards" espagnols à 5 coups, canons placés côte à côte en patte de canard. 2 coups juxtaposés ou superposés (Derringer et similaires).
Alimentation par chargeur amovible ou non jusqu'à 21 coups (et plus même, 30 coups pour un Glock rafaleur ou des Breretta).
Tir = coup par coup avec chambre sans chargeur (Type Contender= dans des calivres allant de .17 =à .444 (Contender en .444 Marlin), mais il y a eu des super magnum de folie sur la base de ces Co,ntender. Tir semi automatique (on appuie sur la queue de détente pour aire partir le coup à chaque fois). Tir automatique (rafales) sur certains modèles (Glock, Berretta par ex= avec des chargeurs amovibles de 30 coups. A chaque appui sur la queue de détente une rafale de 3 coups part, Dans tous les cas (sauf pistolet ) un coup) "gection de la douille sur le côté ou le dessus une fois le coup parti

Revolver (de l'américain, to revolve, tourner) : avec barillet. Jusqu'à 10 coups sur certains modèles en .22LR (&W). Habituellement 6 coups (.32 ACP, 9 Para, .45 ACP'(S&W 1917), et. Tir coup par coup (chaque appui sur la queue de détente fait tourner le barillet, présente une cartocuhe et actionne le percuteur. Pas d'éjction des douilles, cela se fait en basculant le barillet sur le côté (ou vers l'avant sur certains anciens modèles).

Bien sûr il y a des exceptions comme toujours : des pistolets avec barillets (très rares) des révolvers dont le barillet tourne seul après chaque coup (un rarissime modèle allemand).

Il y a aussi toutes les combinaisons de pistolets semi-auto/auti (Mauder C96 par ex.)

C'est un monde incroyable pour les tireurs collectionneurs.

J'ai pratiqué" le tir de compétition armes longues et armes de poing de 1975 à 2012/2013 au déc_s de mon fils coéquipier de championnat).
J'ai vendu toute ma cillection légalement (j'ai eu tous ceux cités plus haut).

El Che a écrit:

"Chapitre après chapitre, bataille après bataille, Marlantes pousse le lecteur dans ce qui est peut-être le roman le plus profond et dévastateur à être jamais sorti sur la guerre du Vietman. C'est moins un livre qu'un déploiement, et l'on n'en sort pas indemne." 

The New York Times

Tout en lisant ce roman, j'avais en tête des scènes du merveilleux film de guerre américain "Platoon", écrit et réalisé par Oliver Stone; avec comme trame de fond le poignant "Adagio pour cordes" de Samuel Barber.

La première victime de la guerre est l'innocence.

"Rejoice O young man in thy youth..." (Ecclésiaste 11:9) "Jeune homme, réjouis-toi dans ta jeunesse..."

Le Passeur a écrit:

El Che a écrit:

Ce n'est pas une lecture, mais je crois que dans le contexte je peux donner suite à ta lecture, mon très cher ami qu'il y a trop longtemps que je t'ai rencontré (peut-être à l'été, qui sait...). Comme la moyenne des Québécois de notre génération, je voue un certain culte à de Gaulle. Je sais que ce n'est pas le cas pour tous les Français, mais nous avons des raisons différentes et bien précises de penser comme nous le faisons.
Mélu et moi avons regardé, hier soir, un documentaire où de Gaulle tient une certaine part et le moins qu'on puisse dire c'est qu'il n'y a pas le  beau rôle:

Ce n'est pas le Vietnam mais l'Algérie. Pour les Français, c'est encore plus près. Certains pourraient avoir honte de leurs pères, d'autres relever la tête... comme quoi, Einstein avait raison, « tout est relatif ». Au passage, moi aussi j'adore cet adagio de Barer.

El Che a écrit: