Vos lectures au quotidien....

J'aime beaucoup (c'est un euphémisme) Mailer. J'en ai lu Nuit des temps, CIA, Marylin et quelques autres, à chaque fois j'ai été transporté, bien que le premier cité supplante tous les autres, dans mon esprit.
Évidemment, c'est un peu rébarbatif pour les gens qui se limitent aux opus de 50 pages. Mais quand on entre dans ses livres, on dévore littéralement. En tout cas, tel fut mon cas à chaque fois que j''ai ouvert un de ses ouvrages.

Nous sommes en 1741 et le temps de prendre la mer est arrivé. Vous embarquez à bord d'une frégate arborant le pavillon de sa majesté britannique et vous partez pour une destination mystérieuse. Cet ouvrage est un roman historique fort bien documenté, où les codes et le mode de vie retracent avec réalisme la dure vie des marins du bord.

Trouvé aujourd'hui chez Cultura et lecture déjà entamée...



Sa lecture va mettre utile pour progresser et ce n'est que le premier d'une longue série.

Bonne lecture et bonne sculture mon cher Odoacre. 

En ce moment c'est çà :



En prévision de l'examen de chasseur de grand gibier. Au menu : faune, flore, sylviculture, pathologie du grand gibier, législation, balistique, sécurité, etc...

C'est assez complet et assez imposant mais passionnant.

Par contre faut bûcher...

Je crois que ça va être très difficile d'ouvrir
un livre aujourd'hui si vous voyez ce que je
veux dire...

Des réflexions théologiques sur la foi, via l'image de l'échelle tendue entre ciel et terre, par Mgr Albert Rouet, ancien évêque de Poitiers.

Celui-là, à priori pas besoin de le présenter...

Après avoir écouté cette émission 

https://rcf.fr/culture/histoire/rome-et-byzance-aux-sources-de-nos-systemes-politiques

Je me suis lancée à la découverte de Byzance. 


4ème de couverture :
Byzance, à en croire la Désencylopédie en ligne qui parodie ironiquement Wikipédia, " est un truc que personne ne connaît, dont personne n'a rien à faire, et qui a pour principale propriété d'être incroyablement compliqué et ennuyeux ". C'est évidemment une plaisanterie, mais qui correspond à ce que beaucoup pensent sans oser se l'avouer. L'objectif de cet essai vise donc à porter un autre regard sur Byzance et à souligner la modernité d'un empire qui, pendant un millénaire, a fait face à des défis qui sont toujours les nôtres : le despotisme, le fanatisme religieux, la guerre ou le rapport complexe entre l'Orient et l'Occident. A ce titre, l'auteur a choisi de se concentrer sur les moments essentiels de l'histoire de Byzance, en mettant en lumière ses principaux enjeux et en dénonçant ses principaux clichés : non, Istanbul n'est pas le nom turc de Constantinople, non, Théodora n'était pas une simple montreuse d'ours et non, Byzance ne rime pas forcément avec exubérance, décadence et manigances.